Etape en cours
Opération de la phase 1 du projet
Bénéfices de l'opération
Située à la croisée du projet Ligne Nouvelle Provence Côte d’Azur (LNPCA) et du programme urbain Euroméditerranée, la halte d’Arenc deviendra à l’horizon 2030, un véritable pôle d’échanges multimodal. Objectif : mieux intégrer les mobilités du quotidien dans le tissu urbain marseillais.

© AREP
Une halte repensée pour répondre aux besoins de demain
Aujourd’hui, 28 TER s’arrêtent chaque jour à Arenc. À l’horizon 2030, ils seront jusqu’à 76. Concrètement, cela signifie :
- Des correspondances plus faciles vers le tramway et les bus ;
- Une meilleure desserte des quartiers nord comme du centre-ville ;
- Une liaison plus fréquente vers la Côte Bleue et Marseille Saint-Charles.
Les travaux prévus
Pour accompagner cette montée en puissance, la halte va être totalement réaménagée :
- Création d’un quai central de 220 mètres, desservi par une seconde voie ferrée ;
- Construction d’une dalle piétonne d’environ 240 mètres en surplomb des voies, qui permettra d’accéder directement aux quais ;
- Mise en place d’accès facilités pour tous les voyageurs, avec escaliers, rampe PMR, ascenseurs et équipements adaptés aux personnes à mobilité réduite ;
- Installation d’une large ombrière urbaine signalant l’entrée de la halte et abritant les services dédiés aux voyageurs et les locaux techniques ;
- Connexion directe à la station de tramway existante et aux futurs pôles vélos et bus situés sous le viaduc de l’A55.
Dernière étape essentielle : le pont-route Mirabeau, qui surplombe actuellement les voies, sera démoli puis reconstruit pour s’adapter à l’allongement de la tranchée ferroviaire.

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Une nouvelle porte d’entrée sur Marseille
La halte ferroviaire d’Arenc deviendra une nouvelle porte d’entrée sur Marseille. Pensée pour accompagner le développement du territoire, sa fréquentation devrait quadrupler passant de 70 000 voyageurs en 2019 à près de 300 000 en 2035.